Supports pédagogiques : s’ouvrir … pour exister

Jeudi dernier, j’ai passé une journée très agréable, et surtout très intéressante à Paris Descartes. Les Jnum de cette année s’attaquaient en effet au thème de l’Université Ouverte dans son sens le plus large. L’introduction de François Taddei a été lumineuse.

Hubert Javaux, m’a demandé de remplacer au pied levé Marcel Lebrun, malheureusement souffrant, qui devait proposer une conférence en début d’après midi sur les aspects pédagogiques. Sa gentillesse, sa mise en confiance m’ont poussé à accepter et j’ai essayé de monter un discours en très peu de temps. J’ai également préféré échanger l’injonction « s’ouvrir ou périr » par « s’ouvrir … pour exister » moins angoissante. Le résultat est repris ci-dessous, c’est beaucoup moins élégant que ce qu’il faudrait, mais je pense que le déroulé est correct, et a été entendu. Pour juger du résultat vous pouvez regardez l’enregistrement vidéo qui a été réalisé par l’équipe de la journée.

Une table ronde a beaucoup traité des MOOCs, avec Yves Epelboin et François Taddei et moi même. De manière générale, l’ensemble de la journée a été filmée et mise en ligne ici.

Notons également l’intervention de conclusion de Denis Berthiaume, qui nous rappelle la nécessité de disposer de moyens humains (accompagnement) et financiers pour avancer sur ces questions, même et surtout s’il y a urgence, pour espérer impacter durablement les universités.

Pour compléter, 3 présentations récentes qui auraient pu également en partie convenir pour un tel titre.

PS : pour la petite histoire, je viens de rédiger ce billet dans la bibliothèque de l’UBO, qui est vraiment un bel endroit, parfait pour travailler.

crédit photo : Bibliothèque Universitaire centrale – centre ville (Brest) Juillet 2010 par adeupa de Brest – licence by-nc-sa

2 Réponses to “Supports pédagogiques : s’ouvrir … pour exister”

  1. François Guité Says:

    Je garde d’excellents souvenirs de mon passage aux Journées numériques, de même que d’Hubert Javaux. De ce billet, je retiens particulièrement cette phrase : « J’ai également préféré échanger l’injonction « s’ouvrir ou périr » par « s’ouvrir … pour exister » moins angoissante. », que je trouve admirable. Tous mes compliments d’avoir si bien réussi, à brève échéance.


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